La maison grise
ABRACADABRA | La maison grise | Ajouté le 08/12/2010 à 09h39 |
On l’appelle la maison grise* Et ce qui me scandalise c’est qu’à six heures du mat Sur ordre de gens de droite Une porte vole en éclat Au mépris de la loi. Les enfants pleurent Les hommes ont peur des menottes, du charter du retour à l’enfer. On l’appelle la maison grise Cinq étages où fraternisent Dans cette auberge espagnole Migrants et bénévoles Dans l’attente hypothétique D’une décision inique. On y croise aucun fantôme, Mais des femmes, des hommes. *1 Avenue Georges Clémenceau Nice |
Grand Jacques | RE: La maison grise | Ajouté le 08/12/2010 à 11h09 |
Le paradis "azuréen" cache bien des misères, merci de les avoir dénoncer. Il n'y a pas que du Bleu sur la côte dite d'Azur |
Grand Jacques | RE: La maison grise | Ajouté le 08/12/2010 à 12h52 |
merci de les avoir dénoncEES. Avec mes excuses |
Hubix-J.Felert | RE: La maison grise | Ajouté le 08/12/2010 à 22h02 |
Là encore, un sujet grave traité avec dignité.Cher papy Robert, tu as bien fait d'en écrire un poème, qui montre bien l'inacceptable dans le pays des droits de l'homme bafoués au quotidien par des politiques plus concernés par leurs mandats en date, leur salaire et les échéances de leur future candidature aux élections présidentielles ou autres que de la misère, la souffrance et la difficulté de pouvoir dormir sous un toit,d'êtres humains quels qu'ils soient.Amicalement.H. |
Ces poèmes attendent vos commentaires
© Indigene Poésie 2003-2019. Tous Droits Réservés.