Glorieuse poésie
Lambda | Glorieuse poésie | Ajouté le 21/11/2010 à 16h10 |
Tu fuis, tu te caches, tu deviens très difficile, Moi qui ne te veux, je l’ai cru, pourtant aucun mal, Juste l’envi de me sentir peut être moins débile, Mais sous chaque splendeur des mots se cachent le râle D’une enfance dérisoire, coulant de simplicité. Peut être l’agacement d’une jeunesse marginalisé, Sans identité, sans moralité, je suis né Pour te servir, moi qui considéré libérée L’âme d’un jeune homme traumatisé, orgueilleux dans toute Sa vivacité, si prétentieux et pourtant doute De ses capacités. Je ne puis me décharger De mon fardeau, moi qui rêvais d’un beau piédestal Sur lequel pesaient mes mots, alors je suis vassal Et pourtant je l’affirme, oui, Apollon m’a touché… |
Hubix-J.Felert | RE: Glorieuse poésie | Ajouté le 21/11/2010 à 21h15 |
Très beau, parce qu'écrit avec le coeur. |
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