Opus
bruno | Opus | Ajouté le 02/01/2009 à 11h44 |
Opus, tu nous tiens éloigné des hommes sans vergogne Opus, tu me ravie et m’entraîne en des terres, marié Opus, ton corps s’évapore, lumière, scaphandrier Opus, tu m’empoisonnes, sans toi, je ne résonne et déraisonne. Opus, tes cheminées sanglotent, nous préparons un long voyage Opus, dans le creux des vagues de nos passions, hurlent les sirènes Opus, joue avec mon corps, élèves-moi encore, les baleines et Minerve M’attire dans ses bras, je ploie sous le poids des vagues mortes qui m’emportent En un long chemin élevé dans les airs et les âges engloutissent mes partages D’où mes sciences, patience, les arts et les cohortes de messagers devant mes portes Opus, je frissonne et ouvre les yeux devant la beauté des nébuleuses parfumées Qui peuplent, Oh mirage, mes douces nuits frivoles et réservées Opus, ta musique exalte la beauté de l’après monde susurré en mille lieus Mille contrées comme une image, et martèle le pavé de mes années sucrées Opus, ton vertige, le vitesse, le sifflement des vents et le poids de nos corps Flottent au dessus des vallées verdoyantes du printemps Opus, je t’imagine douée d’une vue perçante et de toutes les beautés Contre toi rassemblée, fredonnant à tes côtés, allongé sur le lit doux des nuages Confondu en une symphonie disséminée, comme autant de fleurs sur les vallons Opus, tu fredonnes la mélancolie et harponne les contagieuses mélopées Qui tarissent si souvent nos fleuves nacrées, épurés et frémissent sous nos pieds. Opus tu te balances sous nos séants, nos yeux voilés se heurtant sous le plafond des étoiles Au ventre de la terre, nous arpentons, les sommets cupulaires des Edelweiss Nous nous éloignons des mirlitons et des mirmillons Pour chasser en une douce atmosphère les reflets dorés De nos visages, attentifs et impatients de deviner les corps Sages dans l’antre, qui dans l’antre de Satan se dessinent Sous nos plumages. Opus, je pressens, des rencontres au firmament, des Enfants, des pleurs élégants, des rires et des chansons Sous nos pieds, trépasser les sommets de ton ardent soupir. |
p.legaloa | RE: Opus | Ajouté le 02/01/2009 à 13h01 |
hey...euh...j'voi pas dutou c'kil y a de poétik dans le fait d'allé aux puces...sa pike,sa gratte et cé galère à écraser...j'voi bien k'tu connai pas le sujet...m'enfin,cé pas grave et bone âne né kan même...non mais des fois!!! |
loreley89 | RE: Opus | Ajouté le 04/01/2009 à 17h47 |
C'est bizarre car, moi, je n'ai pas vu demarché "opus" mais plutôt une poésie pleine de questions. Merci Bruno...que legaloa s'explique sur ce qu'il entend :) merci et bravo |
p.legaloa | RE: Opus | Ajouté le 04/01/2009 à 20h50 |
euh...dézolé Loreley 89 é dé pousse hier,mai je me sui un peu gouré voir tro trompé par ma vu ki besse et je voulai dire kil faut pas faire la fte aux puces car ces inectes sont des salopar kant'elle se fofile dans les tissus et dans la peau après t'es super naze car elle on pomper tout le sang de tes guiboles car elle ataque les pied en général,gare à vous!!!voilà lraie ponse ...euh,c'est bon,là? |
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