ANS ABUSER?J42TREINS
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CE QUE TU ES N ' EST. |
Ajouté le 29/04/2009 à 22h03 |
Quand le vent dans les yeux
disparaissent les maux
le long de tes cheveux
aux ombres de ta peau.
Je suis à Lille deux seins
comme si monts étaient chair
allangui et serein
à composer des vers.
Malgré mes certitudes
j'explore au fond de toi
d'étranges attitudes
colocataire d'émois.
De simples sentiments
où chaque corps y dort
je traverse l'aimant
d'un lit de réconfort.
S |
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