La disparité des appats rances.

X.Iorcenu	La disparité des appats rances.	Ajouté le 29/07/2009 à 12h00
L'utopixellophane a recouvert entièrement le monde d'une brume opaque et dense, une brume d'intolérance macabre; le souvenir de la mort reste vivace dans la mémoire collective; peu à peu, l'isolement nait chez chacun, l'homme régresse et se déshumanise au profit d'une communication virtuelle, matérialiste,informatique,sinistre; le monde change,sa mutation devient évidente; toucher un visage de sa main semble désormais impensable; l'univers technologique castrateur fait,jour après jour,son travail de sape; la mélancolie est devenue la maladie la plus répandue sur la planète Terre, planète agonisante,déclinante, dans l'espace inter-stellaire d'un profond ennui... Personne n'a trouvé la solution pour inverser l'ordre des choses; l'espoir repose près de la tombe de l'un des derniers homo erectus doué d'intelligence,dcd récemment, d'une implosion neurono-cervico-spinale intense, qui a eu pour conséquence irrémédiable de déclencher le compte-à-rebours de la destruction de l'univers tout entier, voué à s'engouffrer dans l'immense trou noir de l'infiniment con.

loreley89	RE: La disparité des appats rances.	Ajouté le 29/07/2009 à 19h52
..X ta poésie me plait, mais tout de suite je te dis, que je remercie l'informatique d'avoir pu me permettre de découvrir et lire, parfois des écrits géniaux, et des pensées poétiques extraordinaires, qu'auparavant je n'aurais jamais pu connaître,et je ne suis pas pessimiste, car, les gens qui ont la volonté arrivent toujours à se retrouver. Et les vraies valeurs se retrouveront toujours. J'en suis certaine, j'ai foi en l'Homme. Merci et Bravo pour ta poésie

X.Iorcenu	RE: La disparité des appats rances.	Ajouté le 29/07/2009 à 21h00
bonjour Loreley.je te remercie pour ta franchise...mais je voulais juste te dire que ce poème n'est en fait qu'un cauchemar,qui,je l'espère n'aura pas de fâcheuse incidence sur la suite des évènements,quels qu'ils soient...juste un mauvais rêve...au plaisir...

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