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Texte n°194506 : L'hiver infini
Les vents de l’automne attisent quelques braises
Que l’été a laissées à l’orée des falaises,
Laves noires sculptées par la burle, démone.
La cendre éparpillé s’éveille et tourbillonne.
Entre deux sucs blafards chapeautés de glace,
Sur la plaine endormie que la bise refoule
Se dressent quelques cils : épidermique grâce!
Les
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