A tous vos silences qui brûlent votre corps
Quand parfois l'alerte vous tourmente,
A vous qui regardez parfois le ciel
D'un air snobinard, indifférent,
A vous qui fermez les yeux sur la grossièreté
Et le manque total de savoir vivre.
A vous qui toujours et de toutes vos forces
Trouvez le moyen de faire confiance
A ceux qui vous on bafoué ou trompé ouvertement,
A votre patience,
A votre aplomp, à votre diplomatie
Et à votre bonne éducation,
Je dis bravo,
Incapable d'en faire autant.
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