Flonette
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Jamais Trop (Pour Christine et Jacques) |
Ajouté le 23/09/2012 à 11h45 |
La femme ombrée
Le levant a gardé son mystère
sa silhouette impalpable.
Reste une chaleur au creux dégagée
une subtile odeur de musc flottante
Chimère ? Illusion d’un désir
que la main hésitante
ne peut saisir.
Mais, là,
encore, son image
gravée au fond des yeux
voluptueuse marque qu’au fer rougie.
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Femme ombrée
Femme des amours légendaires
éphémères
Ne reste que la fragrance
d’un parfum effacé
une étoile oubliée
dans un regard perdu
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L'ombre d'un regard.
Regard que l'âme ne peut oublié.
Les yeux miroir de l'âme.
Qui a goûté à son parfum suave, le garde pour l'éternité.
L'Emprunt des embrums,
laissent ces empreintes indélibiles
et cela-même sur l'être humain
qui geint aux sons des sanglots longs
des violons de l'autonme aux souvenirs lointains... |
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