Christine
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Jamais trop.. (pour Grand Jacques) |
Ajouté le 21/09/2012 à 21h16 |
L’homme ébloui
Il a bu sa lumière
Dans la rosée du matin....
Cueillir l’incertitude d’un rêve
Au flexible de ses hanches
Trouver l’incertitude d’une joie
A l’offrande de ses lèvres
Rompre l’attente d’un mot
Dans le jour égal de son corps
User du défilé lent et soyeux sa chevelure
Comme d'un rivage
...
La femme ombrée
Le levant a gardé son mystère
sa silhouette impalpable.
Reste une chaleur au creux dégagée
une subtile odeur de musc flottante
Chimère ? Illusion d’un désir
que la main hésitante
ne peut saisir.
Mais, là,
encore, son image
gravée au fond des yeux
voluptueuse marque qu’au fer rougie.
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