Une main dans tes cheveux,
l'autre sous tes dentelles,
Quel instant merveilleux,
C'est bien toi la plus belle.
Tes jolis seins gonflés,
sortent de leur bonnet,
Et ta main impatiente,
m'ennivre et puis m'enchante.
Au travers de ce drap,
Je devine déjà,
l'ombre de ta toison,
Et j'en perd la raison.
Voilà no deux corps qui s'aiment,
A en perdre haleine,
Je veux mourir de plaisir,
J'aime te voir jouir.
Même si ce n'est qu'un rêve,
J'ai trouvé le bonheur,
Et tant pis si j'en crève,
Je veux mourir dans ton coeur.
Je t'aime Marie |