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Hubix-J.Felert L ' AREUH 7 DU FLOU - DEMO. Ajouté le 07/12/2008 à 23h34
Sur les feuilles nuageuses encrées d'air
les plinthes se déshabillent-
jazz funk-punk schtroumpfette et cie
les bigornaux se posent et supposent
autrement que demain-
que doivent devenir les divinateurs?
Au frais des miradors,le jeunesse
se sépare des grillons-
scintillent ailleurs les routes-floc!
comme empruntées précédemment-
l'art chevauche chaque nuit enveloppée
la musique et Philip Glass essaye
avec les courbes qui nous attendent
quelques consignes lovées-ligneuses!!!
des hémisphères années galops années
hautes pensées de ce chat chaviré
le mien dans la mensuration théâtrale
on innove la couleur uniforme-
la clé des douves à prolonger le repas
le chemin est la sure qui passe-
répétitions au-delà du jour
entre Picabia les chaussures et NON
personne née l'origine des mots
naviguant les ormes maigres libres
transitant de l'imbroglio-Ton visage
écho pensionnaire des silences-
les heures franchies,le seuil s'éclaire
malgré le quorum incertain-
la fontaine cultive les ares et niais
on pourrait dormir en saignant-
de la lunette arrière belle baie
sur son cheminement futre et passage-
alors les enfants mangent
la maison découpée
holiday qui survient entre les prises
et couinent les phonogrames
des raisons maternelles-
l'herbe des sourires est purgative
selon le train et le son de l'aube
parolr retournée des dents soudain
on plonge de l'incendie des saisons-
verticale-la gamme-c'est encore-
de la démographie et des squelettes
Subphylum Trilobita du fond d'étangs
scratch mobile hoùme des suites logiques
les normes s'enlisent-odeur de trouble
du passé sans qui De Nerval hait ne s'amuse
des miroirs des reflets des poètes...
le cri sublimé de la génération E.T.
old good felow et tourne à l'envers
suivent les oreilles des w.c. denses
qui oscillent à tenir d'ivresse
passagers oblitérés et mornes paix
derrière l'astrolab ce trait vit
conditionnant la nutation temporelle
blues/que le BB est sectionné/
l'appel peine et la veine plait-
du vide sâcral la porte s'est retirée
les soli d'yeux ondes passionnées
dans des dédales les corps ont bu
des seiches et des tableaux nus-
du jaune oval le ciel nord s'étouffe
dans le bocal des terminaisons-IER-
le sol limpide pousse à être lointain
imagination à travers le ventre-
et les traces abyssales sont possibles?
plexi-klaxon,l'intransigeance se lève
on agite en fonction de la grammaire-
c'est du caniveau et c'est la vérité
areuh transmissible,bave bévue bleue-
ce qui n'est pas abscons-
ce qui rêve de nourrir-
franchir les murmures et la caducité-
le flou est macroscopique?peu d'être
seulement l'écume,etc.




loreley89 RE: L ' AREUH 7 DU FLOU - DEMO. Ajouté le 09/12/2008 à 22h28
il faut que je relise ta poésie car, la tournure "tarabiscotée" que je te connais...cache souvent un sens supplémentaire...je vais essayer de ne pas me noyer ....

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