il parle sans plus rien dire
la langue trempé dans des idees,
dont on oublie les pensees,
le coeur deprimé par l avenir...
combien d hommes pour tout ca
combien de mort pour un pas
je compte et j ecoute puis...
je pleure avant que tout ne s enfuit....
il parle toujours sans un mot,
la verité devoré par la realité,
et moi je ne comprend que les maux,
qui frappe ma pauvre mortalité....
et puis j arrete de compter tout ca,
je regarde les larmes sur mes joues,
et dans la langue du premier pas,
j hurle cette douleur qui me ren,d fou........... |