Orphelin, dieu, ce bâtard,
Qui occupe ma place,
Dans l'univers,il est une tare
Je le vois comme une limace.
Inspirant aux humains l'angoisse,
Ils le prient pour un paradis,
Dont les illusions croissent,
Par sa voix, leurs yeux sont assourdis.
Délaissé, sans aucune femme,
Le créateur abuse de son autorité,
En aspirant très fort les âmes,
Qui l'ont accusé de perversité.
Louanges au Diable, louanges au Mal,
La vérité de l'obscurité chante,
Le bien est dicté par une force animale,
Dans quelques poésies qui enchantent.
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