Mort sans fanfare
albert-coh | Mort sans fanfare | Ajouté le 11/12/2006 à 18h53 |
Tombe la neige sur ma ville lointaine Mon coeur trop gros vibre et s'allège, Une Nature morte, quel sacrilège! Mon double suspendu est en quarantaine. Les étoiles ont perdu leurs étincelles La lumière a repris son visage blafard Par un prisme, je me décompose en parcelles Telle une onde, je me propage sans fanfare. Tantôt Conquérant, tantôt sur moi-même rabattu Avec les vicissitudes, l'Homme est ainsi, Entre les bas et les hauts, il y a l'espoir suspendu Qui ranime notre existence comme dans un récit La vie d'un être se résume dans une seule phrase Malgré les horizons, le chemin est trop écourté, Trop court pour suffire à exaucer nos actes ratés Mort ou survie, l'itinéraire se fragmente en phases. |
loreley89 | RE: Mort sans fanfare | Ajouté le 11/12/2006 à 20h33 |
Albert, tes poèmes écrits, sont la trace que laisses sur le chemin..et lorsqu'on parcourt tes poèmes, on est sur ton chemin..bravo, même si tu es très pessimiste, tes poèmes sont beaux Merci |
Ces poèmes attendent vos commentaires
© Indigene Poésie 2003-2019. Tous Droits Réservés.