La paix
rjuly | La paix | Ajouté le 23/04/2006 à 03h45 |
La paix est un joli murmure qui serpente les murs en attente d’une ouverture. L’ouverture, elle, celle que la paix attend, reste dans sa niche d’argent, tel un chien patient. Ce chien, chien imaginaire, il fait sa prière, prière d’un soir pervers, il a quatre pattes en l’air. Mort ? Ivresse ? Déprime ? Non ! Lecture de l'âme, ouverture de l’esprit, travail spirituel. Le chien imaginaire imagine un chien quatre pattes en l’air. Réalité ? Fiction ? Ce n’est qu'irréalité que la mort élimine les pensées. Pensées de l’aube naissant ou pensées du soleil couchant. Pensées d’une nuit étoilée ou d’une pleine lune ensanglantée. Pensées d’un soldat retranché amèrement dans des tranchées acides. Pensées d’une toxico armée d’une seringue overdosée. Pensées d’un homme bravant obstacles et douleurs, recherchant liberté et douceur. Pensées douloureuses, douces, merveilleuses ou horribles Elles atteignent toutes, sans aucune exception, leur cible : PAIX. Pesticide, Pepsine, Perdition Perquisition, Perplexité, Peroxyde, Persistance, Perversité, Pessimisme. |
Ces poèmes attendent vos commentaires
© Indigene Poésie 2003-2019. Tous Droits Réservés.