inventaire 6
|
Christine
|
inventaire 6 | Ajouté le 05/04/2012 à 09h18 |
|
Le corps en creux, en sillon Se veut fertile A soif de sang, de sel Lèvres closes Le corps en exil S’exaspère désir Exhibe ses os, branches brisées La main tremble |
||
| Grand Jacques | RE: inventaire 6 | Ajouté le 05/04/2012 à 13h16 |
| Je prends ton texte comme une métaphore sur l’inégalité des richesses que la terre offre aux peuples, Richesse, Jardin d’Eden et Souffrance, Enfer…..Mais la terre est-elle vraiment responsable ? | ||
| Christine | RE: inventaire 6 | Ajouté le 05/04/2012 à 14h43 |
|
Ni la Terre, ni nous, elle nous porte, nous essayons de nous porter. La vague ne cesse de balayer le sable, d'effacer nos traces futiles |
||
| Grand Jacques | RE: inventaire 6 | Ajouté le 05/04/2012 à 18h10 |
|
À travers la mer, l’homme mesure tout ce qui lui échappe : insaisissable, elle est ce qui place la création tout entière sous le signe du flux et du reflux, du mouvant et de l’instable. |
||
Ces poèmes attendent vos commentaires

© Indigene Poésie 2003-2019. Tous Droits Réservés.



