LA LOCALISATION DES TAIES MOINS DEUX.
Hubix-J.Felert | LA LOCALISATION DES TAIES MOINS DEUX. | Ajouté le 15/12/2010 à 22h36 |
J'étais à relativiser au sujet d'O menue silhouette, héroïno zoomant dans un style free-schizo sur l'hétéroclitement beau. Dans ce blanc lieu vague et rétro s'agitait l'ensemble des mots Baudelaire traduisait Edgar Poe Stan Getz jouait en staccato. Je voyais le bois d'endorphine à partir des airs secondaires traverser nu les origines de la transparence de l'éther. Avec l'incandescence morale la femme lit de son tombeau, l'avenir et les fleurs du mal pourrissantes, au fond des caniveaux. J'éventrais des printemps morts-nés de l'âme qu'on affine à penser dans l'encens, le fumet des rêves, que sait la mort qui achève? Evidée, la chair se prélasse à contre-nuit, vue de l'espace dans l'éternité du sommeil dans le stupre aux éclats vermeil. Je thésaurisais en substance sur la finalité du temps en cantilène, à Providence guettant le dernier vers rampant. Entre la peur dégoulinante et la dépouille des sains esprits s'insinue l'art des intrigantes muettes langues - O y compris. Je m'éternisais sans maudire à l'orée d'une étrange voix passant, errant, essayant d'ouïr d'où provenait le dernier Rhâââ! O avait le murmure attirant en compensation des voyages des lignes aériennes à mi-temps dans l'humidité des nuages. Pourtant le lit était néant O songeait à Portobello son sexe était sans mouvement le compteur était à zéro. Je la trouvais changeant les draps face à la mer tranquillisée à réciter quelques mantras dans une bande dessinée. Pour caresser l'humilité en silence, amicalement, j'inventais l'éventail à taies l'évènement ciel élégant. |
Bubune | RE: LA LOCALISATION DES TAIES MOINS DEUX. | Ajouté le 16/12/2010 à 09h47 |
Tellement original ! j'adoooore ! |
Flo-Avril | RE: LA LOCALISATION DES TAIES MOINS DEUX. | Ajouté le 16/12/2010 à 12h26 |
Je trouve ta poésie peu ordinaire, elle me fait sourire, merci |
puccilena | RE: LA LOCALISATION DES TAIES MOINS DEUX. | Ajouté le 20/12/2010 à 17h37 |
Alors Hubix, qui donc est cette O qui semble te troubler au point d'en écrire un poème un peu...trouble...? |
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