FAIBLESSE
ÈRE MAVIE | FAIBLESSE | Ajouté le 15/08/2009 à 20h25 |
Quand c'est pas zen Opaque résistance, qui s'accumule sur mes fils de laines; Je m'embobine dans ma froideur de porcelaine. Mon âme a-t-il vraiment sa place dans la cavale contemporaine; Je me sens tout à coup, comme une jolie poupée au centre de l'éden! Qui peut s'adapter au silence de sa souffrance? Qui prétend se protéger de son ignorance, L'esprit avide, trainant les pieds sur l'insuffisance; Comme si on oubliait de continuer notre existence. Lorsque tout semble immonde, triste et sans vermeil, Et que l'on change de voie et que tout reste pareil... On devient, alors inébranlable, quand la douleur en nous someille. Puis, on s'incarne en une statue qui veille. Si, au-delà de l'espérence éclate la lumière, Je voudrais y prendre mon bain, y rincer mes paupières; Devenir trasparente sur le seuil de mes prières, Pour en recouvir mes blessures d'hier. L'utopie que l'on atteint, en touchant notre idéal. Lorsqu'en nous survolte une limpidité sentimentale. On se sent souvent plus libre sans l'amalgame du mal. On se sens plus soulagé, quand tout redevient égale. |
Hubix-J.Felert | RE: FAIBLESSE | Ajouté le 16/08/2009 à 21h58 |
Poème plus sombre que le précédent mais tout aussi lucide...je suis d'accord avec toi quand tu parles d'une utopie comme but à atteindre...si cette utopie reste saine dans dans sa forme comme dans son fond,elle peut effectivement t'apporter un plus qui te permet de goûter la vie comme un mets qui te nourri de bien-être...alors vis-la cette utopie et à plus... |
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