OEDIPUS.
Hubix-J.Felert | OEDIPUS. | Ajouté le 21/07/2009 à 20h05 |
Je viens de tuer mon père, mais il est déjà mort depuis l'âge des misères des relents de remords. Comme cette chanson triste qui me suis constamment, je danse sur la piste, seul,dans mon regard d'enfant. L'oiseau a les ailes brisées, il crie depuis l'aube des temps son mal est inhumanité à travers l'immense océan. Je le regarde se recouvrir de moisissures et j'en pleure quand les clowns font rire, à l'aune des tumeurs. Je suis presque arrivé au quai de ces vieux souvenirs et,sans me retourner, je sais,déjà,l'hiver venir... |
puccilena | RE: OEDIPUS. | Ajouté le 23/07/2009 à 17h07 |
ton poème est bien triste...tu parle de la mort du père comme la solution à l'amour exclusif de la mère,ce qui explique,je suppose(!)le titre...tu traite aussi de l'enfance,de sa dureté,de la maladie présente dans la sphère familiale...tout cela change de tes poèmes précédents...tu varies les sujets et c'est tant mieux...au plaisir,cher poète... |
loreley89 | RE: OEDIPUS. | Ajouté le 23/07/2009 à 21h33 |
je ressens tes paroles, comme les larmes qui coulent des yeux de Pierrot..tu as déja décrit le pantin, et là, on dirait que tu lui donnes tes sentiments...Belle transcription. Merci |
Ces poèmes attendent vos commentaires
© Indigene Poésie 2003-2019. Tous Droits Réservés.