Libres Figures.
X.Iorcenu | Libres Figures. | Ajouté le 22/06/2009 à 21h44 |
Un uppercut à ma volonté aigre un swing à ma logique burinée et nait une pierre d'amortis rayonnant, un concert d'éphémères louvoiement. Je lutte indéfiniment contre l'ivresse cette chanson au refrain calfeutré, ce hoquet d'interminable névrose entre les murs où les angles s'amplifient, devant un public de zombis effarés. Je roule sur un tapis de morne réflexion comme une boule d'indécis souvenirs, la rupture d'un effort sanguinaire. J'avais le poing garni d'imaginaire et le ventre dur comme un ver acrostiche, sûr de gagner ce combat de l'oubli devant les flashs d'un innocent orgueil. Je gérais ce sentiment d'être parfait, gladiateur de la commune rime sublime poète émancipé par la vertu défunte, enterrant par ailleurs l'idiome ignoré et je dus macher les remords indigestes jusqu'au matin frileux où le vent tournoyait, dans ma tête éclatée de fibules livrées, comme un pantin combattant son aura titubant sous le soleil,digne arbitre, sur le sol liquide s'enfonçait la piété et je gagnais du temps,pardonnable raison. J'avais en face de moi cette vile crevasse, ce glacial adversaire aux griffes acérées qui soufflait dans mon cou son venin, sa souffrance vénale à sa chair liée; elle brûlait mes yeux flous d'indigence et mes pas étaient lourds comme un mot mal écrit sur une ligne blanche de virginité fade. Je ne saurai parler de cet étrange rêve, ce cauchemar saurien rampant à ma patience sans incidence sur mon esprit narquois. Je l'ai vu me sourire,je n'ai pas oublié; j'entendais les échos des vestales ludiques et ces gens empiffrés par ce repas linceul qui hurlaient leur sommeil,impudique tourment, en essuyant la bouche à de fins sacrements; le jour régulait son appétit tribal, réveil hétéroclite au charme suranné; dans ma peau suintante j'étais méconnaissable. Je jurai au plus haut que je serai vainqueur, mes jambes balbutiaient en vrilles névrotiques comme un danseur repu de sa course tardive ivre de tuer la vermine en son coeur; des notes venaient entraver ma mémoire. Je visais le trou noir où gisait l'inconnu, ce sourd assentiment des êtres abattus. Un crochet à mon égo goinfré un direct à ma tendre affection et gicle le sang de mes veines fatiguées, mes muscles étourdis devenaient volatiles. Je crûs parler d'amour à un moment d'égard ce n'était qu'un mirage encore émouvant, un lointain échafaud qui pâlit doucement et mes paupières tièdes se referment, comme un ange trahi par son inspiration. Je me bats contre le vide du son inscrit sur la gamme rougie par le feu du savoir et danse cette fille invisible à mes yeux, sifflée par une foule d'insectes insultants. J'éclate ma pensée sur des os décharnés molle contrariété,gourmande satiété et me retrouve K.O. par offense cérébrale, respirant la poussière du silence pourrissant. J'entends s'éterniser les relents du blasphème, je me croyais gagant sans après devenir et me retrouve groggy par un retour de flemme, des fous aux traits tirés me racontent leur peur; ils ont des gueules pâles à lècher de l'envi entre deux S.O.S. et des fards de gangrène. Je nes uis plus O.K. pour lacher mon crayon, son encre est indécise et se colle à la chance et rejette au pourquoi sa vérité première, maintenant mon remord s'intensifie,quelconque, et bulle de trop sourire dans ma voix métropole, un chemin crapuleux où nait l'intransigeance; la fête éternelle est une orgie de plaintes où des communs athlètes ont des maux immobiles une traînée de larmes sur une ligne infinie. Je cries que je suis libre d'être toujours ailleurs à cet arbitre triste au rire d'épouvantail. J'ai gagné mon passeport pour une éternité où je serai le seul à écrire à moi-même. |
loreley89 | RE: Libres Figures. | Ajouté le 24/06/2009 à 22h18 |
...x te dire que j'ai tout compris serait vraiment prétentieux de ma part. Ta poésie très riche mérite plusieurs lectures. Donc, je te dirai. Merci à bientôt pour l'impression ... |
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