LE CORPS.
Hubix-J.Felert | LE CORPS. | Ajouté le 16/04/2009 à 00h09 |
Le corps a oublié d'être vivant entre douleur et antre intime dans la réflexion toute entière de la célérité intérieure. Il projette ses maux en une ombre au renouvellement de sa folie glissant en son identité illusoire d'un paraître inconscient inconsolable. Le corps a stigmatisé le mouvement dans sa vision du sang perdu demeure en lui l'infini vent et l'austérité du silence. Il parle de la durée des gestes comme inanimé dans le temps poussière que le mot imagine cache dès la naissance du rêve. Le corps a en mémoire le néant pensée du confus ensevelissement de ce regard qui touche seul à son apparition spectrale. Il est esquisse au trait creusé vindicatif-étincelant dans l'espace et sa solitude la mort se tient à son chevet. |
X.Iorcenu | RE: LE CORPS. | Ajouté le 26/04/2009 à 21h47 |
Assez curieux que celui-ci soit passé inaperçu tant il est magnifique...parler ainsi du corps,avec cette approche néo-surréaliste,imagée est réellement passionnante...merci pour ce texte... |
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