LE TROÛ BLEU DE MES 1Ô LAINES.
Hubix-J.Felert | LE TROÛ BLEU DE MES 1Ô LAINES. | Ajouté le 19/03/2009 à 23h00 |
Ô kill-ô maitres du remue-méninges invités du temps dans son impartialité, je cure si vite-mais l'avez-vous nue? sous les enseignes les gens saignent trou et les pilotis dans les magasins de dents? Femme qui se plie,de neige tu étais belle malgré mes ans-d'hommage et désintérêt, ô courant d'ére sans couvert d'être envie, après la virgule a surgit le poing,hostile. Murmures mouvants et baillements,tout est le secret de ton corps,toi,femme de laine à la sortie,des orties et que t'offrir? Ô sismiques mains qui étrangères étranglent le souvenir-2008-ô participe passé. Rives des rêves,verdues au fond,tes yeux qui cîmes mobiles,je te les imagine. Ô baisers qui passent au travers et des mots aujourd'hui-plage déserte-couleur d'ombre. Derrière le mur,ton prénom de réverbère, soleil qui féminise et du sable par millier. et ce comment?tes cheveux sont blés recueillis au dehors et j'écris encore toi. J'ai de ma mémoire un visage qui est tien, et au-delà,la nuit parle...au ralenti. Ô femme liseuse entre la fenêtre et le chant dans ce que ma langue sait aussi. Et sourires comme peints-des dimanches- marches-tu,des étoiles,comptes tes yeux! ô ce que nous sommes,au lit et d'espace dans le serein-le silence grandit tout. Ô ton reflet lisse,miroir des tournesols légère tu éblouis les rues de l'émotion. Douce,à peu près,assise au creux de moi et mes pensées s'enroulent.Comme d'aimer. |
X.Iorcenu | RE: LE TROÛ BLEU DE MES 1Ô LAINES. | Ajouté le 02/04/2009 à 22h29 |
une manière surréaliste d'aimer les femmes,une manière subtile d'aimer la femme,une manière d'écrire qui fait fi de toutes salmigondis nauséeux qui font les piètres écrivaillons persuadés d'être poètes...l'originalité est ce qui fait la qualité... |
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