L'ABSURDISTANCE DES ZONES IRIQUES 5
Hubix-J.Felert | L'ABSURDISTANCE DES ZONES IRIQUES 5 | Ajouté le 05/03/2009 à 23h13 |
Comme le disait si grâcieusement à l'orée d'une forêt de bonzaï, le p.d.g. d'une entreprise de scierie U.S.: "De toute manière la vérité se trouve où celui qui la dit est...na!". Sous un ventilateur circonstancié je regardais passer le tarin bleu d'un légionnaire de Boeuf-en-Dôbe quand la gare s'afrétait à partir et ma joie s'éclatait derechef. Comptant les moutons d'hors d'oeuvre rare est ce lieu où la nuit veille et le sang des rivières des réverbères éclaire les mots que j'avais retenu rien que la poussière et John Fante à Hollywood derrière sa Remington fumée dense-arrêt-flexion,don't worry! La scène est au centre où les égouts viennent coups de feu et ce chat dans la lumière je ressasse des iris et la poésie m'aide que dire quand les enfants s'éteignent murmure autour des manèges martiens je tiens dans ma paume la liberté elle brûle...elle brûle...la solution? dormir et dériver et sortir et saliver et les poules ont croquer les rubans quand la langue s'était pendue à l'aube dans la pièce octogonale où je lévite seul,bouddhiste jusqu'à la fin des taons la désinfection à cession d'apparaître comme un rébus abusif que tu siffles belle comme un triangle au chocolat dans l'orchestre de ma chambre muette sous le charme décharné du supplice et je pèse mes maux-sème en tics- que du jardin,les dés ne faisaient qu'un alors,dans l'entrebaillement de ta bouche j'ai mesuré combien tu étais délicate et sur le toit des nuages de mon moâ tu caressais les poils dans le sens où les miroirs riaient d'être inversés depuis,je mange à jeûn,en français dans le texte-la tête est exposée chacun sait que sécher coûte cher et que le vent du vendredi interdit les révolutions surannées au quotidien. J'avais une envie,je l'ai oubliée, sur un banc,dans un révolver,saoûl une cocotte-minute meure toutes les 30 secondes dans le monde où aujourd'hui,on trie... Ta main a occupé tout l'écran;la mère je l'ai baptisée Ophélie;elle s'est noyée quand je l'ai prise de courant en alternant l'auriculaire qui circulait entre deux mondes de reflets et d'espace. Pablo Neruda était présent sur la plage il parlait et le Chili pleurait aussi le facteur a déchiré sa dernière lettre celle où son amour était un cri... |
p.legaloa | RE: L'ABSURDISTANCE DES ZONES IRIQUES 5 | Ajouté le 09/03/2009 à 21h00 |
méz'enfin trubix,euh...kès kit te prend de choisir la zone pour écrire toussa? cé ossi confu k'un clafouti mal écrit,hein??? |
loreley89 | RE: L'ABSURDISTANCE DES ZONES IRIQUES 5 | Ajouté le 10/03/2009 à 10h04 |
bien sûr que "legaloa" va répliquer que ce poème n'est ps drôle du tout, mais, désolée, lorsqu'il débute par "la scierie de bonzais" us, j'imagine trop...et je ne peux résister et le reste de la poésie est pleine d'images drôles, mais, je sais que le fond est sombre...je crois que le Mime Marceau, s'en sortait si bien pour nous donner cette émotion...Merci Hubix et bravo...c'est fort!!! |
Hubix-J.Felert | RE: L'ABSURDISTANCE DES ZONES IRIQUES 5 | Ajouté le 10/03/2009 à 20h35 |
Merci Loreley pour ce commentaire et tanpis pour ce pauvre legaloa!!!C'est vrai que je me suis lancé dans ce poème à suivre composé d'instantanés,de sentiments paradoxaux, de souvenirs d'autres vies et d'un absurde mélancoliquement autre,pour le simple plaisir d'écrire;autodictate,mon amour des mots grandit chaque jour un peu plus....au plaisir,alors! |
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