Naufrage
Jenna-Pascal | Naufrage | Ajouté le 12/11/2008 à 16h54 |
La plus belle complainte danse comme un bandonéon sur un tango argentin Des mesures en cadence sur ce cri aigu qui pleure la mort Dans l'ombre ou s'enlacent les amants agonisent brisé dans ce rêve inachevé Parlant d'amour comme d'un vide parle de la mort Tu parles de la mort comme une seconde chance tu as tort ! Tu vis tes dernières pensées et tu es très malheureux et tu ne veux l'avouez Ton amour est immense et tes larmes tombent en averse L'absence te pèse et te torture le coeur Mon amour je comprends tes blessures maintenant J'ai pu lire tant de fois ce manque d'amour Ne laisse pas l'étincelle de nos âmes sortir de la tristesse totale Ce trop de pureté déploie des agréments de mots de grâce Les fleurs de l'amour ne se fanent jamais elles sont éternelles mon amour Jenna-Pascal le 12-11-2008 |
Ces poèmes attendent vos commentaires
© Indigene Poésie 2003-2019. Tous Droits Réservés.