SELON LES CRANS.
Hubix-J.Felert | SELON LES CRANS. | Ajouté le 03/11/2008 à 23h29 |
Quand les parents du strip-comix génèrent la jean-écologie l'image d'un crash sur mon Divix me dévisse au stade apathie. Je m'allonge d'un sofa ouvert l'oeil dérivant en plein split-screen endoloris des hémisphères James Mason versus Errol Flynn. La diction addictive des V.O. des phases héroïques se prononcent je trace ma nuit incognito quand la cinéphilie s'annonce. Sur l'écran de mes rêves fous je relativise mes émois Mac-Mahonien je vire au flou artistiquement ,j'ai le choix. Des scopitones fantomatiques aux agitations keatoniennes je me décalque les zygomatiques de loufoqueries quotidiennes. Quand de pluie lacrymalogiques l'Aurore de Murnau me transperce à des années-lumière, Kubrick l'espace,génialement,traverse. Je dévore de la pellicule Musidora me vampirise je sors H.S. de ma capsule avant que je ne décolorise. Après un voyage morphéérique j'atteris over the rainbow j'ai l'ouie stéréophonique même si Astaire la joue solo. Du mystère au paradisiaque le courant d'art est permanent du poétique au paranoïaque au 7ème Betty Boop m'attend. Même à Cannes la palme dort je ferai bien un tour d'écran entre les étoiles du Splendor et suivre la parade du printemps. |
Sappho4 | RE: SELON LES CRANS. | Ajouté le 03/11/2008 à 23h38 |
Un régal génial surtout pour qui a hanté les salles obscures et ne jure que par le verbe. |
PACHY | RE: SELON LES CRANS. | Ajouté le 04/11/2008 à 10h57 |
super en effet.. |
Ces poèmes attendent vos commentaires
© Indigene Poésie 2003-2019. Tous Droits Réservés.