POSE REDUCTRICE D'UNE ONDULATION REVELEE.
HEAK 1925 | POSE REDUCTRICE D'UNE ONDULATION REVELEE. | Ajouté le 03/11/2008 à 18h48 |
Le cheval s'étire comme l'annonciation obséquieuse du renouveau. L'exploit au pied de carrefour de la réponse éponge les stratifications. Misère terre nouvelle pomme de l'enfer du sexe grandir à reculons. Maintenant je mange le positivisme de 22H10. Perpendiculairement à l'armoire un auriculaire circule sur une scie solaire. Après je digère l'exclamation des cendres de l'été dépeigné. Dans une bouteille d'humour nage dans un ciel où traine la personnalité d'une étrange couleur. La couronne de sueur de l'éventuelle tumeur tutellaire cingle dans l'Our. Plaisante alors le vrombissement des troupeaux de langues inconnues au bain format NB. Aux racines de la tour du 3ème étage d'un oeil qui sèche je passe à ma montre. La coupe est la maladie de l'incertain ailleurs le sang me parle planète reniement renifle la fleur obèse du retard. Je vieillis silurien poème dans l'intestin le dédain taillé automatiquement. L'allaitement d'un nez qui doute toujours avant garde mes sarcasmes au grenier. Peut-être je souffle éventration de l'angoisse. La liberté précipite les prémices d'une culture altérée sur l'harmonie où moisit l'âme revêche. Je ris depuis l'étranglement du sein fatal recourbé dans les draps des squelettes purs. L'ennoncé est intact. L'effroi soutient l'effort. Je supporte la statue du mystère sacralisée enlisée dans l'interstice de la vague éphémère. A midi je bronze des idées. Le chat questionne la réverbération des accès de soudaineté qui colore l'air. Je chie devant un déflé de nombrils lucides. Je vais nager 48 fois ma foi en évantail ensoleillé du for de ma raison sépulcrale. Un trottoir gît au gilet affamé. La psychose pend richissime séisme imbu de ses caresses obsessionnelles. Un coup pour banaliser le cancéreux voyage aux griffes funambules. Il pleut la rouille de la trouille des essaims de bourgeois empapayoutés. Je nettoierai quand même la blème haleine qui suffira à finir de pourrir sur la croix. Le chien a une roue spacieuse sous ses écorchures. Il pissera la tête fluidifiée. Papillonnant dans la tombe qui suçote les ombres des ondes la désertion commande aux moignons sans guitare:SHOW MUST GO ON. Je vais croquer un clitoris japonais dont la clé se gondole. Demain le dessert est énergie. Sincère dans l'escalier nuageux de tendres noeuds de totale désinvolture. Je lie à mon sourire la prochaine orgie de furtifs tons hagards et révoltants à la source du charnier des exemples linguistiques. Prévalant les cauchemars tirés qui s'engourdissent en treillis comme l'hameçon du caleçon que la maitresse chauffée à blanc écrira au tableau lugubre:PUANTEUR du domaine. Je souille les barbelés du soleil. Je rehausse l'épaule du prochain train de larmes des mères perdues sur des photos de foetus à la poële. Cela semble mou. Leurs boyaux remuent. Comme des oreilles pouilleuses. Comme des soufflets féériques. Je creuse la tête des fruits. Lancé depuis le big-bang le geste vindicatif indique une vengeance fromentée. Je dors gonflé de soufre. La poule applaudit enfin. La pantomime de l'intervale. L'espace de la flatulence généré par le stationnement de l'éventualité d'être un tronc écaillé un kaleidoscope de gerbe doctrinaire. Un dictionnaire de déambulations boutonneuses. Un mince interlude ludique. La source diurétique de déserts désavoeux. La carpe dépose sa carte l'oeuf providentiel synthétique proverbe qui mousse les cercueils hurlants aux oeillets des lucarnes ronflantes. Tic-tac. La séance des visages vire au procès. Un miroir lunatique où l'on tranche le vif. Après un mur d'orage moqueté est le roi de Sodome. L'essence du massacre romantique prisonnière du schisme quantifié par l'encre déboussolée dans un sérieux rite asthmatique. Lentes descentes acides rêves putrides voies le cul de jate idolâtré. Le dictat établi dans un chimique élan. J'écarterai le cuir chevelu des cîmes des cimetières tiers états d'âme dame nuit menuisier colon glacé garçon collé. Trempé de bave bravoure grandguignolesque funeste flamboyance obscurité rituel écuelle lépreuse plainte générosité canaille. Je mémorise les privations de parcelles d'exigence. La féline velléité promesse rénale. Le fleuve caféiné vermine rose rampante qui multiplie l'élégance du comment? La neige est ma fortune éparpillée. La lueur du nerf guttural l'église glaireuse issue de l'interruption d'aimer. Je bouche les gouttes de la voix oblitérée de la vague urticaire. Lieu de la différence. Déflagration crépusculaire. La lèvre pirate du logarythme émasculé le prépuce de la curée. Je dis:ferrez-moi la rigueur au regard derrière le guichet des ossements lunaires. Je croise le vers dans l'évasive rime potelée. Une sauce sensuelle au remord arqué l'onctueux privilège du nombre accéléré. Une tâche prohibée gigantesque série noire où tournent les mouches du naufrage campagnard. Je cède mon évasion à la cervelle des limaces qui grimacent devant la glace de mon émoi iceberg. Une marche de permanence trois sommeils quatre à l'heure cinq coqs ciseaux couverts d'épines maquillées par milimètre trapézoïdal. Humus carne de bal trappe. La rubrique éternue au volant des cintres globuleux. Je lève la sucrière de mes ecchymoses symboliques. Quant à l'hiver son intérieur somnole. Je prends le train de 16H50 par l'indifférence de la beauté de son lé farci par contumace lundi au repassage à niveau annuel. Bon je monte jusqu'à Troyes sans toi. Un cerf-volant des méninges au linge de décombres sur une place pubienne le soir de l'innondation cosmique des tabulations escamotées rit. Bonjour appareil à planter les fils à intriguer l'anonymat immature dans l'introspectif vice de forme oblongue robe de mariée déjà noyée depuis l'albumine de rien. Comment allez-vous corroborer vos tétines de doryphores devant cet étalage d'élégiaques cloaques d'obscurantismes têtards diffus? Rendez-vous à l'intersection de l'infection inflationniste. Bureau stomacal feutré. Linge de bord submersible outremer personnel autorisé à battre en retraite des planches à voiler la véritable mort du monde. Vous avez des hanches hachurées de mystère olfactif... |
Sappho4 | RE: POSE REDUCTRICE D'UNE ONDULATION REVELEE. | Ajouté le 03/11/2008 à 19h12 |
J'aime "L'homme approximatif" et d'autres textes de Tzara. "Pose réductrice d'une ondulation révélée" me fait songer à ce type d'écriture dont l'oeil et l'oreille aiment retrouver les méandres. |
Hubix-J.Felert | RE: POSE REDUCTRICE D'UNE ONDULATION REVELEE. | Ajouté le 03/11/2008 à 21h08 |
Chère Sappho4,ceci est la rencontre spatio-temporelle de 4 esprits iconoclastes qui librements s'inspire du trésor linguistique qu'est notre langue française pour pratiquer ce mélange de cadavre exquis et d'écriture automatique,produisant ainsi une poésie libertaire qui peut paraitre abscons où hermétiquement complexe,mais dans ce poème il existe une entrée quelque part...à +. |
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