L'ESPRIT FLOYDIEN DU PARADOXE.
Hubix-J.Felert | L'ESPRIT FLOYDIEN DU PARADOXE. | Ajouté le 31/10/2008 à 14h47 |
Comme ces flamants qui s'imaginent picorer des étoiles le long des voies ferrées je tousse au plus profond de moi-même des étagères,des éclairs de chaque tri opéré assourdissant remord lié au rouge d'un ciel je vais des murmures lointains murer les arts mots qui sommeillent sous les yeux de l'inconu entrant parmi le désir obsessionnel le goût je suis Syd prenant le chemin des dérisions soumis à des actes surréalistes d'un vivant par la serrure le chat est apparu vieilli je croise des ciseaux des rêves découpés mimant au coin des rues la veine métamorphine des lumières dînant au sourire ravageur dans la fissure mère de l'or cabalistique je l'ai vu regarder l'horizon de la folie entrainer son souffle à demeurer déchirant et le dernier acte les oiseuax sont envolés-demain- l'air enveloppe le cerveau et longe l'amer je vois à l'intérieur l'herbe et ses miroirs recouvrir son nom d'un linceul-rose- dans l'ambulance de ses années acide je l'écoute embarasser l'éminent Big Brother commes ces poissons qui nageaient dans son corps bleus d'un soleil équivoque révolté ô douceurs blasées qu'il habite ensablé je l'approche de sa pâleur la caresse s'accroche dérivant de musicalité abscons en cynisme le son d'une flute dans la forêt anglaise c'était en lui le capharnaüm de son avenir dédale d'un sang de la rivière des maux... |
Sappho4 | RE: L'ESPRIT FLOYDIEN DU PARADOXE. | Ajouté le 02/11/2008 à 11h38 |
Etonnant, déroutant, sans cesse inspiré. |
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