J’ETAIS PETIT, TOUT PETIT
üzeyir lokman çayci | J’ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 21/04/2004 à 22h19 |
J’étais petit Tout petit On a planté une rose dans ma main Que j’ai cultivée dans mon cœur… Maman m’a apporté de l’amour Que mes regards Ont transmis A mon père. Dans les écoles J’ai eu des copains de classe Et aussi des enseignants… Qui m’ont permis d’apprendre A lire, à écrire et à apprendre Avant d’accéder à l’information. J’ai aimé les oiseaux Je me suis entendu avec les fleurs… J’étais un bon ami Des crayons et des livres… J’ai souvent dessiné Mon milieu de vie… J’ai été un défenseur actif De l’équilibre écologique. J’étais petit Tout petit On a planté une rose dans ma main Que j’ai cultivée dans mon cœur… Üzeyir Lokman ÇAYCI Mantes la Ville – le 14.04.2004 Traduit du turc par Yakup YURT |
anne-sophie | RE: J´ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 27/04/2004 à 09h45 |
raconter sa vie, nous enléve de nos coeurs les moments les plus importants et aussi ceux les plus graves. |
Atilla | RE: J´ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 28/04/2004 à 14h53 |
C VRAIMENT UN POEME DE MERDE |
dddqdqd | RE: J´ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 16/05/2005 à 16h03 |
va va |
cladounet | RE: J´ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 26/05/2005 à 21h24 |
ouaaai chaud lascard chaud! |
rogena | RE: J´ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 01/06/2005 à 14h25 |
j'avoue qu'il est pas trés bien ton poéme |
max | RE: J´ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 21/09/2005 à 21h35 |
chaqu'un voi la poésie comme il l'entend s'il aime ce qu'il fait alors c'est bien ! |
gérard | RE: J´ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 30/09/2005 à 14h21 |
Moi je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites et je trouve ce poême très bien ; il est un remerciement à tous ceux qui ont fait de l'auteur un Homme. en plus c'est le premier que je lis sans fautes d'orthographe. Bien amicalement à tous |
loreley89 | RE: J´ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 01/10/2005 à 22h32 |
c'est vrai, il y a de la reconnaissance et du respect ds ce poème bravo à son auteur |
mounette51 | RE: J´ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 26/12/2005 à 16h31 |
moi je ne suis pas d'accors avec vous non plus!!!ca s'appelle la liberté d'expression mes coco alors vous imprimé et vs écraser compris? |
cat | RE: J´ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 28/01/2006 à 09h20 |
Dite les petit merdeux des premier post ,c'est qui vous dérange sur cette poésie c est que vous et incapable d enfer autant a bon entendeur Et bravo a l auteur |
illusange | RE: J´ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 28/01/2006 à 16h17 |
c est bonne ambiance ici, c est un site de combat ou il y a une erreur ? ;) |
LeDoigtSurMonEtoile | RE: J´ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 28/01/2006 à 23h20 |
j'aime pas dutout ce poeme. mais il peu etre interessant pour certain et puis apre tout les mien ne plaise pas non plu donc... sa vien peu etre de moi lol mais alor les faute d'ortho...j'en ai rien a foutre...Gerar |
Moi | RE: J´ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 12/05/2006 à 23h39 |
c'est vraiment nul comme poeme... je vois pas ce que vous voulez dire??? |
mary | RE: J´ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 29/09/2006 à 15h55 |
L'auteur est peut-etre jeune en écriture ou en n'age tout simplement il faut lui laisser le temps demurir sa prose.Ceux qui écrive savent que les début ne sont jamais ce qu'on en attend. |
dolen | RE: J´ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 16/11/2006 à 20h05 |
pour comprendre la poesie encore faut il avoir mal à l'ame ,chaque etre ressent les choses differement ,laissons lui sa chance |
sylvie | RE: J’ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 24/11/2006 à 17h09 |
L’innocence nue Elle a ce regard bleuté, naïf de l’enfance, Craintif, observateur, vécus de sa naissance. Un sourire clair-obscur illumine son visage, Tel un masque d’ébène éloigne les présages. De longues vagues d’or ondulent sur ses reins, Que son humble grand-mère, le dimanche matin, S’évertue à sculpter de son fer à friser. Sa grande lucidité, l’empêche de rêver. Car son trésor à elle, ne le gardera pas, A cinq ans sent, rôder l’inéluctable trépas Ces braves gens lui ont donné tout ce qu’ils ont pu, Sublime prouesse à quatre vingt ans et plus. Tend sans arrêt les bras à qui voudra l’aimer, Seul moyen qu’elle a trouvé pour communiquer. Se rend utile à tous, aimez moi, aimez moi, C’est une malade d’amour cet enfant là ! Sa grand-mère le sait, elle connaît sa faiblesse, La protège pour que les grands ne la blessent, Pour elle oncles et tantes, c’est le monde entier A quoi donc père et mère pourrait ressembler ? Elle est toujours malade, chétive et agitée, Cataplasmes, ventouses, potions grand-mère ça y va. Fait d’horribles cauchemars que le phénergan abat, D’où elle vient, de son nom fendu, rien n’est conté. Est-ce pour cela qu’elle ne tient pas debout ? Elle chute sans arrêt, s’égratigne les genoux. Cette enfant là, c’est une vague en sursis, Le dos voûté, soumis, comme trop vite vieillie. Avec cette sale manie qu’elle a de chaparder, Ceux qu’elle aime et les autres sans trop savoir pourquoi. Qu’ils vont essayer en vain de redresser, Non vraiment, ce n’est pas un cadeau, croyez moi ! D’un émoi acéré, d’une clairvoyance acerbe, Son passé c’est sa tête, elle enregistre sa vie Comme une caméra, pour ne pas se perdre, Ravie, têtue, jouit de ces instants de sursis. Elle ne sait pas comment elle est arrivée là, Mais se demande sans cesse où après elle ira, Le grand-père il l’aime c’est certain, la petite, Il est fort, il a fait la guerre quatorze dix huit, La question des enfants ce n’est pas son rayon Lui, c’est décharger les péniches, livrer le charbon, Faire respecter la loi, la morale avec droiture, Mais le temps l’a paré de fatigue et d’usure. Elle sait qu’il sera comme un enfant perdu aussi. Tant de temps passé ensemble, c’est sa moitié de vie, Lui, ne veut pas voir ce que l’enfant sait déjà. Elle fut là quand le jour tant redoute arriva, Sylvie, je vais mourir, que vas tu devenir… ? Posa la main sur sa tête dans un ultime soupir. Imbécile et froide, resta là durant des heures, La tête sur ses genoux noyer dans ses pleurs. Quand les grands arrivèrent ils la trouvèrent hélas, Assise sur sa chaise, l’enfant à ses genoux, Froide et raide, la petite ne sait rien de ces choses là Elle sait que son trésor s’est envolé, c’est tout. Grand-mère avisée ne croyait pas si bien dire, Ses craintes étaient fondées sur son devenir Elle rejoindra celui de sa prime enfance, Ballot, de chaire de sang, de papier, de jugements, Eparpillée au gré du vent, de-ci, delà, Comme le vent sans cesse vous chavire inlassablement, Comme l’orage sans cesse vous foudroie désespérément, Comme ce soleil de plomb sans cesse vous calcine solitairement, Comme cette mer sans cesse engloutit définitivement Si elle voyait cette enfant là ! Qui cherche une porte ouverte et ne la trouve pas. Si elle voyait cette enfant là ! Qui a peur de grandir ou ne sait pas. Si elle voyait cette enfant là ! Qui est toujours glacée et ne se supporte pas. 5 Sept 2003 Marie-lise EHRET |
gregor | RE: J’ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 26/11/2006 à 22h53 |
des mots vrais, on espère te lire! |
norette | RE: J’ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 27/11/2006 à 01h14 |
on ne peut que t'encourager, n'écoute pas ceux qui mettent les batons dans les roues, ils comprenent rien. |
ramirez | RE: J’ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 27/11/2006 à 17h08 |
Petit, oui au passé, mais tes mots te rendent plus grand! |
Joey Starr | RE: J’ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 27/11/2006 à 19h19 |
tu vien de crée un nouveau style ! l'inintéressant ou l'ennuyeux ! |
led zepplin | RE: J’ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 27/11/2006 à 19h25 |
vraiment intéressant! |
picasso | RE: J’ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 28/11/2006 à 20h16 |
beau! |
alain | RE: J’ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 30/11/2006 à 19h32 |
ton auditoire est intéressant! tes lecteurs sont nombreux, signe de réussite. |
I | RE: J’ETAIS PETIT, TOUT PETIT | Ajouté le 30/11/2006 à 19h35 |
pas forcement signe de reussite... c'est un texte qui pour moi n'est pas interessant ! |
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