200807
fil de fer | 200807 | Ajouté le 13/05/2008 à 23h28 |
L'ambiance éveille aux surfaces de lumineux secrets, riche analyse restaurée, selon une alchimie - mobilité et illusion - en tant que les chairs de préférence chez l'enfant, fruit, jusqu'au bouton de la nubilité, là tendrement finit cette célébration de nu, le satin se vivifiant à un contact de peau, l'orient des perles à l'atmosphère, féerie, oui, quotidienne - sans distance - par l'inspiration, pour que jaillisse l'intention de la toilette de cygnes à nous, célébrant à jamais la noblesse des rayons et la rougeur des roses de la grande lyre qui s'extasie, vêtue de l'azur qui sort de sa chevelure et lui verse l'ambroisie, l'âme ivre de toute la gloire où résonne la virginité des jeunes tonerres. D'un regard affirmatif et pur, sa vue d'une droiture introublée se jette au loin, concurrement au flux de banalité dans le faux semblant de civilisation, par une simple adjonction orchestrale de la joie émise par l'instrumentation, et allégorique, l'acte scénique vide et abstrait en soi, s'ébranle avec vraisemblance par l'emploi du vivifiant effluve qu'épand la musique, fusion de ces formes de plaisir disparates suscitant une phase exacte de théâtre, laquelle répond, comme par surprise, à la disposition de sa race. Etreindre à la gorge l'interrupteur vers l'extatique torpeur de ces feuillage la-bàs, trop immobilisés pour qu'une crise ne les éparpille bientôt dans l'air, dont le coup de sifflet sous la brume d'amers et lumineux sanglots, désertant les hasards, répercute tous rêves antérieurs à leur éclat pourpre dans la nue universel, sacre de l'intrus royal qui n'aura eu qu'a venir, préférant puiser, dans son principe, jaillissement, où des torches consument, dans une haute garde, d'immortels troncs verdissant l'escalier de fer, emportant du monde quelque part, le train, dont le métal résume la force pure du rail qui féconde les terrains sans culture partout où la terre a besoin d'être modifiée. Eclat, lui, d'un météore, allumé sans motif autre que sa présence, comme d'une heure absente au cadran, jusqu'à l'espace élargie des desseins finis humains, projetés par le cri d'une disparition qui se désaltérera d'ondes suaves sur un fleuve mélodieux, le génie enfui au temps futur ivre de réciprocité, de paysages bus avec soif de vastitude et d'indépendance, en fragments intelligibles et l'accent vierge que prolonge l'espoir d'une oeuvre de maturité survivant à un signe suprême. Toute la langue, majestueuse idée inconsciente, alignera sa propre scintillation, comme en le ciel mûr la créatrice et relative volonté, l'éffilée de multicolores perles qui plaque la pluie, suivant des lueurs d'orages y recouvrant ses coupes vitales, puis s'évade, selon une libre disjonction aux milles éléments simples, avec des plis significatifs affranchis d'un compteur factice et connait une jouissance à discerner, seule, toutes les combinaisons possibles, avant de le donner superbe et nu tel un joyau définitif, révélateur du trouble transitoire à tant de noblesse visible marchant en l'existence selon sa divinité. Aîné subtil, la vision dirigé dans l'intervalle des décors, sites arctiques, étendu dans un bercement de promenade éclairé en guirlandes et attributs, les yeux sur l'enfilade et les temples, l'arcane! en verres d'illuminations comme d'une métaphore, l'étincellement stable d'initiales de retour à l'authenticité de la statuaire robe se relevant avec l'entendement des visiteurs, afin d'en assouplir l'élan gentiment à terre. Totale arabesque, en tant qu'une harmonie est pure, la symphonique équation propre aux saisons, habitude de rayon et nuée, puis un sens pour leurs asymétrie, action, reflet, qui les relie à de vertigineuses intersections dont le rythme répond à une imaginative compréhension, jusqu'à une transfiguration en le terme surnaturel, aidant l'éclosion, en nous, de correspondances, éruptif sursautement de clarté comme les proches irradiations d'un lever de jour pour qui le charme fut de se réunir vers cette salle particulièrement sonors au rêve. |
Hubix-J.Felert | RE: 200807 | Ajouté le 13/05/2008 à 23h42 |
Bonsoir,fil de fer,avant d'aller dormir ,j'ai tenu à lire tes textes qui me paraissent magnifiques et je surréalise le trés haut niveau d'écriture auquel tu les adjoins;je n'ai pas lu d'aussi belle poésies depuis trés longtemps et je te remercie d'apporter ainsi ton talent et ta richesse créative à ce site qui le mérite sincèrement;j'espère que tu liras ce commentaire;au plaisir de te relire quotidiennement.Hubix. |
loreley89 | RE: 200807 | Ajouté le 14/05/2008 à 19h39 |
Hubix; vraiment, comment après, Une seule lecture, peux-tu émettre une si haute opinion!!!...c'est fort..Mais, pour ma part, j'ai du Fil de Fer à retordre, car il faut que j'y revienne pour bien distiller la beauté de ce texte. Bravo et Merci |
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