LOS ANGELS SATANIQUES
Hubix-J.Felert | LOS ANGELS SATANIQUES | Ajouté le 26/02/2008 à 18h33 |
Gargouillis dans mes sanglots tamisés de trous noirs et du tain de bancroûte sur mes dentures de foire pathogènes nervurées sous mes codes chromosomes et du fier corryza dans mes tambourinaires paumes. Lippo-supplice à ma tendresse de binaire vis-à-vis et vagues mandrins de bile au carnet de dioptrie caricatures méplates dans ma féroce plaie d'écaille et des ferrures clippées d'ex-protonémas d'émail. Plasma d'exsangue salbande de mes pores amovibles et du miracidium cramé dans mes fissures tangibles céphalée carnivore dans mon cortex plissé d'aval et des piges de nitrate à mon quotient élémental. Je rentre dans les losanges sataniques de ma force tranquille acquitté par mesure indigeste de mes pensées hostiles j'exècre la tension simulée par des espaces castrateurs devant le plein funèbre des fils de mes humeurs. Habile lézard marbré à la cueillette de fins traumas enfoncé dans des quarterons de luxure falbalas portrait chiffon d'un pénible sybarite impuissant dans l'immense ring de doutes aux pôles pénétrants. Je glisse de bisbilles feintes à des torsions fortuites sans plisser ma rudesse de chercheur illicite volutes d'ictères sâlées dans ma scolaire voix barbelée et du marasme trillé pendu à mes globules saignées. Bléno fragile qui cerne le boxon de mes insanités et du colon visqueux sous ma peau d'ange liquéfiée ulcéreux paradis disloqué entre mes ombres folles et du lisier d'amour dans ma chair rigole. Séisme névrotique sous mes caresses révolues et des pythons diaphanes d'intimidants rébus glycolyse graisseuse de mes entrailles torchées et des fontaines prismiques de mon flanc lacéré primipare de douleur dans mon splénius oisif et du fatras coxal sous mon ilion rétif. Je dors dans les losanges sataniques de ma jouissance brisé par la lame rouge de ma léthargie dense je broie de la carie dans mes spirales innées envahit par l'horreur de perdre ma gynécée je couvre de mes cancers les ions de mes yeux froids pliant sous l'évidence de n'être plus le roi je meurs de trop pourrir accablé de lourdeur vaincu par les démons dévorant ma chaleur je jette à mon éponge un sifflant lipotrope écrasant ma vision d'un soleil misanthrope je me noie dans l'encens de mes fènes bulbeuses décomposé de maux en fentes siliceuses. Adieu miroir morbide de mes litiges abstraits je vois dans mes carences le vide d'être né. |
loreley89 | RE: LOS ANGELS SATANIQUES | Ajouté le 26/02/2008 à 22h43 |
..entre "coxal, splénius, lipotrope" quelles acquisitions!!!..plus les autres que je n'ai pas encore appréhendés.. hubix! j'ai failli me déguiser en infirmière ...mais "force tranquille" m'a quelque peu rassuré sur ton état latent...donc, je me contente d'observer ..Merci et bravo pour cette étude oh combien approfondie de ton "moi".. |
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