A LA RIGUEUR BLESSEE
Hubix-J.Felert | A LA RIGUEUR BLESSEE | Ajouté le 15/08/2007 à 19h02 |
Quand le destin est incertain le chagrin déleste l'instinct nuées de murmures insistants instants de pur émolument évoluant sous de frêles lueurs à l'aurore récitante accablée attablée sous un chandelier brillant d'accord calculateur silence trié entre deux points interrogeant l'avis des poings rongés par peur de la vie aussi tôt fée,aussi taudis mince éclat de brûme ouverte à la température du ciel ligaturé au vent inerte du ventre au glas démentiel en fonçant à l'orée factice d'un front couverture immondice laissant passer l'espace hanté par émission apparentée légères brisures lézardes blèmes usure du teint au blond poème qui évolu dans l'atmosphère d'une attirance passagère la faim stigmate feinte absolue quand le sein gratte la peau nue d'une illusion rédhibitoire rejoint l'atone envie de boire hésitation pour une mort sûre mordante peine aux yeux d'azur comme une commune communion dans le miroir de la passion étreinte terne au terme lourd fusion entrelas haine amour prophétique quittance maternelle amas doué d'un vain rituel rose brisée d'un film noir quand glisse l'or au fil du soir l'apparence danse vision charnelle aux monts errants ô monde virtuel dans le bazar des vouvoiements vit la lueur le scintillement des sentiments d'usurpation comme un baiser sans goût sans nom au for de la reconnaissance née d'un pressentiment d'absence le secret d'âme funambule se cache au centre d'une bulle sans paroles et la chance se meurt ôcre prière esprit qui pleure au soleil de la liberté dans le regard de la beauté rémission lisse aux plis replés aux mouvances menues et blasées affres séniles au coin du feu frisson au visage d'un aveu blessure qui saigne au printemps à la rigueur du firmament jette à la terre l'horreur humaine avant de devenir gangrène. |
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