PAYONS CES UBIQUES 8 THéS
Hubix-J.Felert | PAYONS CES UBIQUES 8 THéS | Ajouté le 07/08/2007 à 21h39 |
De grotesques émanations d'érudition parviennent à mon esprit fourmilion un océan de pâtres assoupis dans un fortin de Nycosie villipendent d'osseux mitrons armés de rêves accordéons je sonne à la forêt d'émail d'un printemps rance de Cornouailles couverts vernissants en cadence comme des anges de désobéissance je traduis leur démêlée de brebis profondis issue d'un loft in peace au ralenti de ma faim effleurée j'ôte le gras,je gratte le haut j'exécute un calcul des peignées luttant contre des textes gynécos près d'une peine au ventre mou à condition de voir le genou de l''étincelle venue inextricable l'amer émoi est impensable j'ai six euros et une direction un jeu sentant l'évaporation la brûlure d'un ton opinîatre l'exclusion sommaire d'abattre des souvenirs au quai de n'importe où je vais solder ma couleur d'yeux barbouillé par le lift d'un fou accoure alors le fiel si pieu qui a le poil prêt à fleurir un voyage,l'amour mûr à pourrir et dansent de sinistres nerfs dans les veines de l'inconnue chair qui n'appartient qu'au paysage où j'ai largué la première page l'introduction d'un malentendu un brin d'aubaine non révolue l'obséquieuse envie de devoir sacrifier l'élément primordial sans mais je loue la combine oraison pour trouer le cul du pardon le faire s'extirper du formel une facile proie du noir rimel de ce poème-perruque factice un réveil au fond des sévices un moment d'inanition repeinte je goute à ce lieu des feintes où les mouches s'expriment en thaï en face de miroirs sentant l'aïl j'ai l'effroi qui devient chapelet une photo que j'ai dû inventer dans une saison électro-statique où je collais des mots au sens pour décolorer ma défense un flot d'irradiante musique vint me décrocher la cervelle je pensais à recoudre un L à ce foie qui manquait d'indigence refermer le livre des pérégrinatons au rappel-une éphémère évanescence le jour où la nuit sens si bon étonné de boire aux illusions une réverbération de la paresse à la lueur d'une excuse caresse sur le visage d'une écho-localisation à l'écoute du libélé d'écarissage de l'union d'informes partenaires j'ai craché le sang de l'adhésion reculant devant le ver de soumission auquel reviendra l'essence-l'air l'espace du renouveau cérébral célébrons alors l'or des candélabres à nos ceintures des îles immorales se sèchent-un dernier coup de sabre un élément qui justifie qu'on paye. |
loreley89 | RE: PAYONS CES UBIQUES 8 THéS | Ajouté le 08/08/2007 à 19h05 |
Félix, Mon Ami, je te mets au défi de m'expliquer le sens profond de ton poème, ce sera ta punition..ou peut-être dois je le relire quatre ou cinq fois..tt à l'heure je m'y remets.. |
loreley89 | RE: PAYONS CES UBIQUES 8 THéS | Ajouté le 08/08/2007 à 19h05 |
Félix, Mon Ami, je te mets au défi de m'expliquer le sens profond de ton poème, ce sera ta punition..ou peut-être dois je le relire quatre ou cinq fois..tt à l'heure je m'y remets.. |
christ30 | RE: PAYONS CES UBIQUES 8 THéS | Ajouté le 08/08/2007 à 19h13 |
Je l'ai lu,et relu,et re-relu,mais malgré cela,je me suis perdue entre les mots,entre les lignes. Et je crois qu'en fait,j'aime bien ça ... Bon.....je recommence(sourire). Amitiésss |
Hubix-J.Felert | RE: PAYONS CES UBIQUES 8 THéS | Ajouté le 08/08/2007 à 19h41 |
chère Loreley,je ne t'expliquerai pas le sens profond(s'il y a un sens et s'il est profond?),de ce poème;en fait,je l'ai écris sous hypnose et je ne me souviens plus qui m'a hypnotisé,sorry... |
Lysée-Hodinia | RE: PAYONS CES UBIQUES 8 THéS | Ajouté le 09/08/2007 à 00h01 |
Bonsoir Hubix !! Une violente et très forte Ubiquité !! Sous Hypnose? hé bé, mon ami.... et si tu étais sur la cible d'un lanceur de couteau .... que composerais-tu dans l'instant??? Tu perds ton lecteur dans des dédales fous... Si mon cher Seb pouvait le lire, je s'rais très - très curieuse de connaître sa pensée.... il comprendrait pourquoi!! Troublantes élucubrations .... (( fume pas la moquette, quand même ! lol )) allez, bien le bonsoir ! L. |
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