La Malédiction de la nature
Gizmo Lutchkaya | La Malédiction de la nature | Ajouté le 09/02/2004 à 03h39 |
A la fin de mon rêve, Je me lève Émerveillé par le chant des oiseaux Je tire les rideaux Grande est ma déception De ne voir que des moineaux Moi qui croyait voir des Cateaux J'avais oublié la malédiction Au fil des années, elle a eu l'effet d'une gomme Cette malédiction, bien sûr, n'est autre que l'homme Aveuglé par ses propres désirs, L'homme a pris un malin plaisir A effacer de nombreux paysages Que la nature a si finement tracée Et qui d'antan se vantaient d'avoir traversé les âges Mais qui maintenant ne fait que partie du passé L'homme veut toujours construire Sans pour autant cesser de détruire Il emprisonne les autres créatures avec ces barrages Sous-prétexte d'être libre de créer don propre entourage Jamais, il ne cesse de parler de pouvoir Son esprit a perdu le sens du devoir Envers la nature qui a vu sa naissance Et qui l'a aidé tout au long de sa croissance |
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