Fuite
zorba | Fuite | Ajouté le 04/03/2007 à 21h08 |
Pays gouvernés par des salops, A nous mentir, ils ont du culot Ventrus, incapables d'écrire des discours Ils n'aiment que ceux de leur cour. Mendiants, ainsi ils ont appris à être, Mais l'aumône n'est pas pour la masse Pour leur quatre femmes et leur maître Dans tous les pays jusqu'à Damas. A l'écran, on les voit majestueux, Mais dans leur chambre, ils sont impuissants Vivant d'hormones au pouvoir vertueux, Vers nous, ils pointent leur index menaçant. Le peuple opprimé voudrait fuir ailleurs, Malgré les dangers qu'il devrait braver, L'hôte le considère d'un oeil railleur, Mais, il ignore pourquoi il s'est sauvé. |
Ces poèmes attendent vos commentaires
© Indigene Poésie 2003-2019. Tous Droits Réservés.